Gaza et Ukraine sont des points de départ des guerres pétrolières des patrons

Au fur et à mesure que les capitalistes avancent vers une guerre globale plus chaude et plus étendue, ils massacrent des milliers de travailleurs à Gaza et en Ukraine. Des réserves énergétiques constituent le butin à court terme. Mais à long terme, le contrôle du Moyen Orient et de toute l’Europe sont en jeu.
Tout au long des 400 ans de l’histoire du capitalisme, la guerre est une constante. Elle est aussi une inévitabilité future. Pour les patrons, elle reste le seul moyen de résoudre leur rivalité pour la domination des ressources mondiales et pour l’exploitation des travailleurs du monde, travailleurs qui créent les bénéfices accaparées par les dirigeants.
Les guerres impérialistes ne prendront fin que lorsque la classe ouvrière internationale aura détruit le capitalisme par une révolution communiste. Nous devons créer une société gérée par et pour notre classe, sans patrons ni bénéfices. Nous devons éliminer le chômage, le racisme, le sexisme et la pauvreté de masse engendrés par le système capitaliste. C’est le but que le Parti Progressiste du Travail, révolutionnaire et communiste, s’est fixé.
Les dirigeants israéliens conspirent avec les patrons arabes.
Les atrocités sadiques perpétrées par Israël à Gaza constituent des attaques contre tous les travailleurs. En partie, elles prennent racine dans l’histoire perverse de ce pays, en particulier dans l’héritage des « Judenrats » pendant la deuxième guerre mondiale. Ces « dirigeants » juifs autoproclamés collaborèrent avec les bourreaux nazis, rédigeant des listes de Juifs à gazer dans les camps de concentration, afin de sauver l’élite juive. Comme Hannah Arendt l’a écrit dans son livre Eichmann à Jérusalem, « ce rôle des dirigeants juifs dans la destruction de leur propre peuple forme certainement le chapitre le plus sombre de toute l’histoire sombre ». Par la suite, les Judenrats sont devenus certains des fondateurs d’Israël. (Pour davantage d’informations, lisez Perfidy par Ben Hecht (1961)).