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Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

Monday
Jan192015

France : Le Racisme des Dirigeants Crée la Terreur.

 

Traduit de Challenge, le 15 janvier 2015

 Alors que les puissances capitalistes du monde s’unissent autour des dessinateurs humoristiques français (morts et vivants) de Charlie Hebdo, ils exploitent les meurtres afin de célébrer le mythe de « la liberté d’expression » (voir encadré) et d’intensifier le racisme contre les musulmans et les arabes. Les patrons français utilisent les événements afin de faire passer leur version du USA Patriot Act « afin d’autoriser une surveillance plus intrusive » (le New York Times, le 13 janvier 2015 » -- un nom de code pour des mesures répressives contre les manifestants et les dissidents.  Alors qu’ils ciblent des terroristes islamiques de petite envergure, les terroristes les plus grands – les Etats-Unis, l’Union européenne, la Chine, et la Russie – sont en train de manœuvrer afin de se procurer un avantage dans leur rivalité impérialiste croissante. Ils exploiteront les victimes à Paris dans la cause nationaliste et fasciste – et pour les guerres plus grandes à venir.

Les patrons européens et états-uniens doivent persuader des millions de jeunes de la classe ouvrière de penser qu’ils se battent contre le racisme en rejoignant l’armée afin de combattre l’Etat islamique (EI). Ce qu’ils craignent le plus, c’est que les jeunes et les travailleurs suivront l’exemple des rebelles à Ferguson dans le Missouri. Ça, c’est la véritable lutte contre le racisme : d’affronter l’emploi brutal du pouvoir d’Etat par les patrons et d’affronter l’appareil d’Etat (les flics, les tribunaux, les prisons) qui les soutient.

Des terroristes isolés ne pourront jamais vaincre le racisme des dirigeants. C’était les masses de la classe ouvrière en Union Soviétique, en Chine, et au sein des mouvements de Résistance qui ont écrasé les Nazis et leurs alliés fascistes japonais pendant la deuxième guerre mondiale. Le racisme pourra être anéanti uniquement par la violence révolutionnaire de masse de la classe ouvrière. Nous devons organiser des dizaines de millions de travailleurs sous la bannière du Parti progressiste du travail, révolutionnaire et communiste, pour détruire le capitalisme et pour construire une société gérée par les travailleurs : le communisme.

A la suite des dernières atrocités commises par Al Qaeda, les dirigeants des Etats-Unis ont fait des heures supplémentaires afin de dissimuler la source principale de la violence : la rivalité capitaliste pour le pétrole et le gaz. En réalité, les attaques en France proviennent de deux facteurs liés. Al Qaeda (avec son rival, l’EI) a l’intention de se saisir par la force (dont des attaques terroristes en Occident) des richesses énergétiques du Moyen Orient contrôlées par les Etats-Unis et leurs alliés. Simultanément, l’histoire longue et brutale du racisme contre les Arabes et les Musulmans de la part de l’impérialisme français pousse les terroristes, aidant les efforts de recrutement d’EI et d’Al Qaeda. Mais on n’apprendra rien de tout cela en lisant Foreign Affairs (le 7 janvier 2015), le journal du principal groupe de reflexion de l’impérialisme états-unien, le Council on Foreign Relations (CFR) :

« Le nombre de morts fait que l’attaque de cette semaine est la plus importante sur le sol français depuis l’occupation nazie – une étape très importante dans la campagne d’Al Qaeda contre l’Occident. Elle fait partie d’une longue suite de complots visant à tuer des personnalités médiatiques pour leur valeur symbolique en Occident en tant que modèles de la liberté d’expression et, pour certains Musulmans, en tant qu’exemples du mal de la laïcité. »

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Sunday
Dec212014

San Francisco

Traduit de Challenge, le 24 décembre 2014,

San Francisco – Le Parti progressiste du travail est descendu dans la rue à plusieurs reprises manifester contre les assassinats perpétrés par la police, à Ayotzinapa au Mexique, à Ferguson dans le Missouri, à New York City et à Oakland en Californie. Nous sommes indignés par le meurtre de notre jeunesse par le système capitaliste et nous sommes inspirés par la résistance. Nous discutons les événements avec nos collègues au travail, avec nos camarades d’école et avec nos amis, et nous visons à exploiter de la situation afin de dénoncer le système capitaliste et de radicaliser la classe ouvrière.

Quand le gouvernement mexicain a éliminé les étudiants radicaux d’Ayotzinapa, nous avons distribué un tract et avons manifesté devant le consulat mexicain à San Francisco. Notre tract a expliqué le lien entre la violence d’Etat à Ayotzinapa et à Ferguson. Un système capitaliste qui n’offre aucun avenir à sa jeunesse recourt de plus en plus à la terreur d’Etat afin de faire obéir la classe ouvrière. Lors du rassemblement, nous avons scandé en anglais et en espagnol « Guerre contre les stupéfiants, non ! Guerre de classe, oui ! » (Guerra del narco, No! Guerra de clases, Si!) 

Notre collectif a débattu des moyens de mieux préparer ces manifestations. Par conséquent, nous avons acheté un porte-voix et au dernier rassemblement « Ferguson », nous avons entraîné les manifestants à scander des slogans comme « Inculper, faire condamner, envoyer ce flic assassin en prison / tout le foutu système est coupable ! » Au slogan populaire « Les mains en l’air, ne tirez pas » nous avons ajouté les mots « Les poings en l’air, résistez ! »

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Monday
Dec012014

Leçon apprise d’une histoire de la guerre : Lutter pour le communisme

Traduit de Challenge, le 10 décembre 2014, page 6 

La grande guerre meurtrière a pris fin il y a 96 ans. Il est peut-être impossible de surestimer l’impact de cette guerre sur l’Histoire du monde. Elle était de loin la guerre la plus meurtrière de l’Histoire, jusqu’à cette époque.

Le massacre a horrifié même les nombreux patriotes qui l’avaient anticipée et qui l’avaient célébrée à ses débuts. La grande guerre était purement impérialiste – un massacre capitaliste pour la domination et des colonies. La guerre n’avait aucun but pouvant la compenser sur le plan moral.

Ce n’était pas une guerre pour la « liberté », quel que soit le sens que l’on donne à ce mot, ni pour « l’autodétermination nationale » ni pour mettre fin au colonialisme, ni contre le racisme ou la brutalité. Tous ces concepts cachent le fait que la première guerre mondiale était une guerre impérialiste. De tels prétextes idéologiques ne peuvent masquer le fait que la grande guerre était une guerre pour partager la Terre, une guerre pour et non pas contre la subordination, le colonialisme et la domination.

C’était une guerre entre les « démocraties » -- sur ce point, l’Allemagne n’était pas moins « démocratique » que le Royaume-Uni (tous les deux étaient des monarchies parlementaires), ou, mettant la monarchie de côté, que les Etats-Unis.

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Friday
Nov282014

Pas de Justice Sous Le Capitalisme

Traduit de Challenge, le 24 novembre 2014 à 21h52

Michael Brown. Kajieme Powell. Vonderrit Myers Jr. Shantel Davis. Kimani Gray. Roshad McIntosh. Eric Garner. Rhamarley Graham. Ezell Ford. Kyam Livingston. Reynaldo Cuevas. Tyrone West. Omar Abrego. Le plus récemment, les flics ont tué Tamir Rice, 12 ans, à Cleveland (Ohio) et Akai Gurley, 28 ans, à Brooklyn (New York).

Les meurtres racistes, perpétrés par les flics, sur des jeunes noirs et hispaniques continueront, puisque le grand jury n’a pas mis en accusation Darren Wilson, le meurtrier de Michael Brown. Il est évident que le flic Wilson a assassiné Mike. C’est comme ça que la justice capitaliste fonctionne ! Les flics et les patrons peuvent faire n’importe quoi en toute impunité, tandis que la classe ouvrière est soumise à la terreur, la déportation, l’élimination, la mort par faim et la meurtre – tout cela est légal sous le capitalisme.

On met en avant beaucoup d’exigences : la mise en accusation, la police de proximité, des conseils pour investiguer les plaintes des citoyens, des flics noirs ou hispaniques, des investigations par le gouvernement fédéral. C’est comme si on demandait au renard de garder le poulailler ! Faire agir les gens par le biais des tribunaux, c’est une méthode de pacification. Les tribunaux, les flics, le parlement – l’Etat tout entier – appartient à la classe dirigeante.

Les assassinats perpétrés par les policiers continueront parce que c’est avantageux pour les patrons. Cette augmentation du nombre de meurtres fait partie du fascisme montant : le système capitaliste est en crise. Il devient de plus en plus évident qu’il n’y a pas d’avenir pour nos jeunes sous le capitalisme, que nous vivons un système en décadence. Alors les patrons terrorisent la classe ouvrière pour qu’elle accepte un avenir de chômage de masse et de guerres. Il faut s’attendre à davantage de meurtres racistes. Le racisme, c’est la lame de rasoir du capital, qui génère des superbénéfices pour les patrons et une classe ouvrière divisée.

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Saturday
Nov222014

Les dirigeants projettent un avenir de guerres

jeudi le 13 novembre 2014

La classe dirigeante des E.-U. a beaucoup de pain sur la planche. La concurrence entre les impérialistes oblige les patrons à se préparer à la fois aux guerres régionales moins grandes et à la grande guerre mondiale à venir. La Chine, la Russie, le Japon et les puissances de l’Union européenne rivalisent avec les E.-U. pour le contrôle du pétrole et d’autres ressources et pour la maximalisation des bénéfices engendrés par la main d’œuvre bon marché. L’Histoire montre qu’on ne peut éviter ces conflits par la négociation ou par la coopération. Le seul moyen de les résoudre, c’est la guerre.

Mais les capitalistes ne peuvent poursuivre ces guerres avec succès sans des soldats sur le terrain pour effectuer la tuerie. Ils doivent gagner la loyauté et le soutien des travailleurs du monde – les mêmes travailleurs qu’ils doivent exploiter et brutaliser avec leur système raciste.

Aujourd’hui, la plupart des travailleurs s’opposent aux bagarres actuelles entre les patrons. Même sans un mouvement de masse pour les galvaniser, ils comprennent que les guerres capitalistes ne peuvent faire avancer leurs intérêts. Voici, alors, l’occasion pour les communistes de transformer ces guerres impérialistes en guerre de classe – comme les Bolcheviques l’ont fait en Russie pendant la première guerre mondiale, comme les communistes chinois l’ont fait pendant et après la deuxième guerre mondiale. Voici notre chance de mener la classe ouvrière dans une révolution pour détruire le système capitaliste. Ensuite, nous pourrons établir le communisme, un système géré par les travailleurs, libre de patrons, de bénéfices, de chômage, de pauvreté, de racisme, de sexisme. C’est le but du Parti Progressiste du Travail, communiste et révolutionnaire.

Des guerres régionales ou une guerre mondiale ? 

Les capitalistes des E.-U., devraient-ils continuer à investir dans des invasions régionales, ou se tenir prêts à une possible troisième guerre mondiale ? Voilà les choix stratégiques délignés par le Council on Foreign Relations (CFR), le principal institut de recherches des impérialistes des E.-U. Le dernier numéro de sa publication, Foreign Affairs, (novembre-décembre 2014) oppose deux articles : « Davantage de petites guerres » par Max Boot, at « Choisissez vos batailles » par Richard Betts. Ce n’est pas une discussion de salon ; ces écrivains sont des participants actifs aux meurtres de masse commis par les patrons. Boot a conseillé les commandants des U.-S. en Irak et en Afghanistan, tandis que Betts fait du conseil auprès de la CIA et de l’Université de la Guerre de l’Armée. Et le CFR en soi représente l’aile financière du capitalisme des E.-U., c’est-à-dire les capitalistes qui gagneront ou perdront le plus en cas de conflit militaire. Parmi les soutiens du CFR, on trouve ExxonMobil, JPMorgan Chase, et la famille Rockefeller.

Mais la formulation de ce débat en termes de « soit l’un, soit l’autre » est incorrecte. La guerre impérialiste est à la fois inévitable et incrémentale. Au fur et à mesure que les patrons des E.-U. se battent contre une multitude de rivaux outre-mer, nous devons nous attendre aux deux types de guerre. 

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