Faire un don
Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

« La Vérité Sur le Nationalisme Ukrainien | Main | Gaza et Ukraine sont des points de départ des guerres pétrolières des patrons »
Wednesday
Sep102014

Les meurtres racistes dévoilent le visage du fascisme états-unien

Quand les flics, les chiens enragés des patrons, ont tué Michael Brown et Eric Garner, la cause de mort était le capitalisme. Brown a reçu six balles du flic raciste Darren Wilson pour le « crime » d’être noir et de marcher dans la rue à Ferguson, dans le Missouri. Le flic raciste Daniel Pantaleo a tué Garner avec une prise d’étranglement quand Garner a essayé de séparer des gens qui se battaient dans l’arrondissement de Staten Island à New York. Ce ne sont que deux meurtres parmi beaucoup d’autres commis contre des travailleurs et des jeunes, noirs ou hispaniques, à travers les E.-U. Tous les ans, on notifie le F.B.I. d’au moins 400 meurtres commis par des policiers locaux. Ces exécutions racistes représentent la montée du fascisme – le capitalisme en crise, le capitalisme dévoilé.

Ales que les E.-U. s’affrontent aux rivaux impérialistes montants, comme la Chine, et se dirigent inévitablement vers une guerre plus large, les dirigeants des E.-U. ont besoin d’intimider les travailleurs. Les salaires et les services sociaux (l’éducation, la santé, le logement) doivent être réduits afin d’allouer davantage de ressources à la machine militaire du patronat. La classe ouvrière a une longue histoire de soulèvements contre l’oppression capitaliste. Quand notre colère, qui prend racine dans notre conscience d’appartenir à la classe ouvrière, est dirigée et organisée par le leadership communiste, elle constitue la plus grande menace au système brutal des patrons et à leurs projets impérialistes. Comme nous l’avons vu, et dans le Missouri et dans le New York, ils y répondent avec des bâtons et avec des carottes, avec la terreur et avec des réformes.

Ces dernières semaines, alors que des masses multiraciales de travailleurs se défendent dans des manifestations et des rebellions antiracistes dans 90 villes aux E.-U., les capitalistes font de leur mieux pour que le système capitaliste ne soit pas condamné. Des hommes politiques, des éditeurs et des universitaires « progressistes » embrouillent la question en demandant une réforme de la police. Mais peu importe les changements superficiels qu’ils puissent apporter – les patrons détiendront toujours le pouvoir d’Etat. Les flics et les tribunaux serviront toujours leurs intérêts. L’appareil d’Etat, cruel et coercitif, assurera le flux de bénéfices. Avec plus de deux millions de personnes derrière les barreaux, et presque cinq millions en liberté conditionnelle ou mises à l’épreuve, le système carcéral des E.-U. est « de loin le plus grand au monde ((National Research Council, 2014). Le taux d’incarcération aux E.-U. est 50 % plus élevé que celui de la Russie et six foix le taux chinois (International Centre for Prison Studies, 2013). Le racisme forme la brique et le mortier des prisons états-uniennes. Les personnes noires et hispaniques, ensemble, constituent environ 30 % de la population des E.-U., mais presque 70 % de la population carcérale aux E.-U. – non pas parce qu’elles commettent davantage de crimes, mais parce qu’elles sont « ciblées et traitées différemment par le système pénal des E.-U. » (Psychology Today, le 3 février 2014). 

Le racisme opprime TOUS les travailleurs

Les patrons engrangent des centaines de milliards de dollars en sur-bénéfices quand ils maintiennent à un niveau particulièrement bas les salaires et les conditions de vie des travailleurs noirs, hispaniques et immigrés. Ces différentielles racistes constituent une « nivellement vers le bas ». Employé comme une menace contre les travailleurs blancs, elles font baisser efficacement le niveau de tous, tout en augmentant les marges bénéficiaires des capitalistes. Pour donner un seul exemple, des masses d’ouvriers de l’automobile furent licenciées quand les patrons de l’automobile ont transféré les usines à des régions de bas salaires aux E.-U. et en Amérique latine.

Les flics aident les patrons à briser les grèves. La ségrégation raciale, la terreur raciste, et la déportation des immigrés sans papiers aident à perpétuer des bas salaires, le chômage de masse et des logements et des écoles pourris. L’oppression sexiste des femmes fait baisser les salaires encore plus. En même temps, les capitalistes livrent des guerres impérialistes pour le pétrole, l’une après l’autre, tuant des millions à travers le monde, afin de protéger leurs bénéfices. Les capitalistes ont aussi besoin des flics pour supprimer la dissidence anti-guerre, afin de maintenir la docilité de la classe ouvrière pendant qu’ils battent les tambours du nationalisme, une idéologie meurtrière dirigée contre la classe ouvrière.

Le communisme, c’est la réponse 

Nous avons besoin d’une révolution communiste pour détruire le capitalisme et le racisme, une fois pour toutes. Aucune classe dirigeante n’a jamais cédé son pouvoir de manière pacifique. La violence incessante des patrons envers la classe ouvrière doit être contrée par la violence révolutionnaire des travailleurs. Le pouvoir ouvrier éliminera les patrons et les bénéfices volés de la valeur produite par la classe ouvrière. Une société communiste sera gérée par et pour les travailleurs. Cela, c’est le but du Parti progressiste du travail, qui organise notre classe dans plus de vingt pays.

Afin de prévenir la révolution et leur expulsion du pouvoir, les patrons « progressistes » nous disent que la solution, c’est d’employer davantage de flics noirs et d’élire d’avantage d’élus noirs. Mais ces flics et ces élus serviront cette même classe dirigeante pourrie.

Prenons l’exemple de l’Afrique du Sud, ou les « progressistes » ont mis fin à l’apartheid dans les années 1990. Aujourd’hui, la majorité des positions supérieures au gouvernement sont détenues par les porte-paroles noirs des grands industriels et banquiers. Aujourd’hui, le taux de chômage est encore plus élevé qu’au temps de l’apartheid. La santé et le logement sont pires. Les patrons noirs appliquent le système capitaliste afin de protéger leur part du gâteau des bénéfices.

En 2012, une force policière multiraciale a massacré des vingtaines de mineurs noirs en grève.

Ou prenons l’exemple d’Israël, où les dirigeants fascistes ont établi un système d’apartheid pour opprimer les travailleurs en Palestine. Ce n’est guère une coïncidence que les patrons israéliens aient formé la police en Afrique du Sud – ainsi que le commissaire de police noir dont on a donné la responsabilité de calmer les habitants de Ferguson. Le racisme est un phénomène capitaliste sur le plan international.

Les laquais noirs et la terreur fasciste

Depuis Obama jusqu’en bas de l’échelle, les patrons des E.-U. emploient une constellation de laquais noirs, dont l’indicateur du F.B.I., Al Sharpton, qui travaillent en étroite collaboration avec la Maison Blanche pour faire dévier la colère des masses : Jesse Jackson, qu’on a hué à Ferguson, et l’Attorney General (Ministre de l’Intérieur) Eric Holder, qui a permis aux flics racistes et meurtriers de parcourir librement la ville de Washington, D.C., à l’époque où il y était le chef de police. Simultanément, la terreur raciste et fasciste monte. Obama, un maître de la duperie, nous dit que la leçon principale à tirer des événements de Ferguson, c’est que la police ne devrait pas employer des armes de guerres, fournies par le Pentagone, dans des quartiers résidentiels aux E.-U. « Le président Obama a ordonné un examen exhaustif de la stratégie du gouvernement, vieille de plusieurs décennies, de fournir à des forces de police locales du matériel militaire tel que des fusils automatiques, des silencieux, des camions résistants aux mines et des gilets pare-balles ». (Le New York Times, le 24 août 2014).

En fait, Obama et les capitalistes de finance qu’il sert ne se préoccupent pas des travailleurs qui sont mis en danger. Des équipes de policiers SWAT (GIGN ou BAC) envahissent les logements des travailleurs – tuant parfois des innocents – 45 000 fois par an – un chiffre étonnant. Mais, comme les événements à Ferguson l’ont démontré, le militarisme sauvage des dirigeants peut rendre les manifestations de la classe ouvrière plus violentes – ce qui représente une menace potentielle aux bénéfices. De toute manière, une réduction de la puissance de feu de la police (pour le moment) ne changera rien. En tant que serviteurs de la classe qui détient le pouvoir d’Etat, les flics ont un permis de tuer. Le flic Wilson a tué Michael Brown avec son arme de service normale. Le flic Pantaleo a étranglé Eric Garner de ses mains nues.

Les atrocités racistes états-uniennes : du pain béni pour les rivaux impérialistes

Alors qu’il semble que les patrons des E.-U. aient pacifié temporairement les travailleurs furieux dans le Missouri et dans le New York, les meurtres racistes de Michael Brown et d’Eric Garner sont toujours un sujet de préoccupation pour eux. Alors que le conflit mondial s’intensifie en Ukraine, en Irak et en Syrie, ces atrocités gênent les préparatifs des impérialistes états-uniens en vue de guerres à travers le monde. Ils ont désespérément besoin du soutien de leurs alliés à l’étranger. Mais au fur et à mesure que les ennemis des impérialistes états-uniens deviennent de plus en plus audacieux, ces alliés deviennent évasifs. 

Dans l’article Ferguson From Afar (Ferguson vu de loin) du 21 août 2014, Foreign Affairs, le principal magazine états-unien dédié à la politique étrangère et financé par le capital financier, on note que « la discrimination raciale ouverte … sape les efforts des E.-U. pour faire appel aux cœurs et aux esprits des peuples du monde ». Le magazine rappelle la manière dont le racisme états-unien, promu par l’Etat dans les années 1960, a fourni un avantage énorme en Afrique aux rivaux impérialistes russes. Aujourd’hui, les ennemis des E.-U. en Russie, en Chine et en Iran – et même des amis supposés en Arabie saoudite, en Europe et en Amérique du sud – emploient leurs médias de masse afin de souligner les dernières atrocités racistes et de dévoiler l’hypocrisie et les critiques moralisantes des E.-U. Pour une grande partie du monde, les bourreaux-décapiteurs de l’Etat islamique ne semblent pas pires que les flics-massacreurs des dirigeants états-uniens.

Construisons le Parti progressiste du travail

Les capitalistes peuvent parfois museler les flics meurtriers au nom de la réforme. Mais, pour être libéré de la terreur des flics racistes, les travailleurs doivent débarrasser le monde de sa source – la classe qui s’enrichit au détriment des autres. Cela n’aura lieu que lorsque le Parti progressiste du travail aura été transformé en un parti révolutionnaire de masse de la classe ouvrière. Cela n’aura lieu que lorsque nous aurons amassé la force nécessaire pour renverser le capitalisme et pour établir le communisme : le pouvoir des travailleurs. Rejoignez et construisez le PPT maintenant.

Reader Comments

There are no comments for this journal entry. To create a new comment, use the form below.

PostPost a New Comment

Enter your information below to add a new comment.

My response is on my own website »
Author Email (optional):
Author URL (optional):
Post:
 
Some HTML allowed: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <code> <em> <i> <strike> <strong>