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Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

« Afrique orientale : Le capitalisme gâche l’enseignement pour les travailleurs | Main | Le Conseil d’Administration de la City University of New York (CUNY) et la police de New York le prouve :Il n’y a pas de liberté d’expression sous le capitalisme »
Sunday
Mar162014

La guerre perpétuelle d’Obama et de ses alliés contre la classe ouvrière

Vendredi, le 14 mars 2014

L’hypocrisie du gouvernement Obama débloque. Obama a condamné le président russe, Poutine, pour avoir « violé le droit international » en s’emparant de la Crimée, dans le conflit sur l’Ukraine. Le ministre des affaires étrangères d’Obama, John Kerry, accuse la Russie d’avoir « violé franchement le droit international ». Leur organe, le New York Times (le 3 mars) prétend que Poutine « a franchi les limites du comportement civilisé ». Et l’Union européenne (UE) soutien les Etats-Unis sur toute la ligne, « afin de défendre les valeurs occidentales ».
L’envoi de soldats en Crimée par le dictateur Poutine est une broutille, comparé à ce qu’ont fait les dirigeants états-uniens – actuels et historiques – et des membres de l’UE tels que la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Belgique, parmi d’autres. Alors qu’Obama se présente comme le policier du monde qui défend « le droit international », en réalité c’est lui le criminel-en-chef sur le plan mondial. Sous le capitalisme et l’impérialisme, « le droit international » se réduit à la loi de la jungle. Il se résume à tout ce que les puissances capitalistes peuvent faire sans être punies, surtout lorsqu’elles emploient l’armée.

La guerre par la terreur, un devoir présidentiel.

En octobre dernier, le service de presse McClatchy a affirmé que « le gouvernement Obama a violé le droit international avec ses opérations top secret de meurtres ciblés, qui ont fait des dizaines de victimes civiles au Yémen et au Pakistan ». Et la directrice du Centre pour la sécurité nationale de la faculté de droit de l’université Fordham, Karen Greenberg, a indiqué l’étendue du mépris du droit international au sein du gouvernement des Etats-Unis, sous Obama :

D’après le sénateur Lindsey Graham…, le gouvernement Obama a tué 4.700 personnes dans de nombreux pays, dont le Pakistan, le Yémen et la Somalie. Obama a réussi à intégrer le processus des meurtres par drone au sein de la présidence d’une telle manière qu’il sera l’héritage de tout président à venir, ainsi que la « liste des gens à tuer » de la Maison Blanche et les « réunions de mardi sur la terreur ». Aujourd’hui, mener une guerre mondiale sans limites fait partie du rôle du président.

La machine de guerre d’Obama protège plus de 1.000 bases à travers le monde, dont l’envoi des forces spéciales pour des assassinats ciblés. Mais son gouvernement ne fait que poursuivre la politique belliqueuse des dirigeants des E-U, qui vise à maintenir les E-U comme seule superpuissance dans le monde, et surtout à contrôlé le pétrole et le gaz, qui sont souvent l’enjeu de nombreuses invasions. Pratiquement chaque année, au cours du 20ième et du 2ième1 siècles, le Pentagone et la CIA ont pratiqué des invasions, le renversement de gouvernements démocratiquement élus, et des assassinats. A partir de 1898, lorsqu’ils se sont emparés de Cuba et des Philippines (où ils ont pour la première fois pratiqué le waterboarding, et ont tué des milliers « en franchissant les limites du comportement civilisé »), puis partout en Amérique du Sud et en Amérique centrale pendant la première moitié du 20ième siècle, puis en mode frénétique depuis la fin de la deuxième guerre mondiale.

La machine militaire des présidents des E-U continue sa marche.

Au nombre de leurs « violations » d’un droit international inexistant :

1953 : le renversement du gouvernement élu de l’Iran et l’instauration du Chah dictatorial (Eisenhower).

 1954 : le renversement du gouvernement élu du Guatemala, aboutissant à la mort de 100.000 personnes (Eisenhower).

1962 : l’assassinat, sous l’égide de la CIA, du premier ministre élu du Congo, Patrice Lumumba (Eisenhower).

1965 : l’invasion de la République dominicaine afin d’éliminer un président élu qui ne se plier pas à la volonté de Wall Street (Johnson).

1971 : le massacre anti-communiste, aidé par la CIA, de plus d’un million de travailleurs en Indonésie par le gouvernement du dictateur Suharto (Johnson).

1963-1973 : l’invasion du Viêt-Nam et le bombardement du Cambodge et du Laos, une tentative ratée qui a abouti à la mort de 5 millions de personnes en une décennie (Kennedy, Johnson, Nixon).

1973 : sous l’inspiration de la CIA et de Henry Kissinger, le renversement du gouvernement élu de Salvatore Allende au Chile et la prise du pouvoir par le fasciste Pinochet (Nixon).

1979 : la campagne, financée par la CIA à hauteur de 30 milliards de dollars, pour envahir l’Afghanistan à partir du Pakistan et pour contrer la présence soviétique dans ce pays (ce qui a abouti à la prise de pouvoir par les Talibans et la formation d’Oussama ben Laden) (Carter).

1983 : l’invasion de la minuscule île de Grenada, sous prétexte que le gouvernement y était « marxiste » (Reagan).

1989 : l’armement et le soutien des escadrons de la mort au Nicaragua et en El Salvador (Reagan).

1989: l’invasion du Panama afin d’éliminer l’influence des banques japonaises (Bush Sr.).

1994 : l’invasion d’Haïti (Clinton).

1999 : le bombardement sur une grande échelle de la Yougoslavie, qui a tué des milliers et détruit une grande partie de l’infrastructure du pays (Clinton).

2003: l’invasion « choc et stupeur » de l’Irak – sous prétexte d’inexistantes armes de destruction massive – qui a tué des centaines de milliers et a déplacé quatre millions de personnes, réduisant ce pays à une ruine ou il y a des meurtres tous les jours (Bush Jr.).

2001 : l’invasion de l’Afghanistan, la clef au pétrole et au gaz d’Asie centrale (Bush Jr., Obama).

2010 : le déploiement de la marine des E-U autour d’Haïti et le soutien des forces de l’ONU dans ce pays, afin de contrôler les travailleurs (Obama).

Et maintenant l’invasion de la Lybie méridionale par les forces spéciales des E-U afin de combattre des « ennemies » dans quatre pays africains adjacents.

Les patrons européens ne sont pas des fainéants, non plus.


Mais les capitalistes de l’UE, tout en n’étant pas à la hauteur de la « norme » états-unienne, ne sont pas des fainéants, non plus. Les impérialistes français se sont livrés au massacre et à la torture de dizaines de milliers de personnes lors de leur carnage en Algérie. Aujourd’hui, la France a des soldats dans une demi-douzaine de pays africains afin de protéger ses investissements dans ses anciennes colonies.  Le roi des Belges, Léopold, a perpétré un holocauste au Congo, tuant et mutilant quelque 15 millions de travailleurs et de paysans entre 1876 et 1908. Pendant deux siècles, les capitalistes britanniques ont brutalisé l’Afrique centrale (le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie, entre autres), l’Afrique du Sud et l’Inde. L’Allemagne nazie sous Hitler a réduit à l’esclavage et a tué des dizaines de millions de personnes afin de réaliser son projet de race des seigneurs. Voilà les « valeurs occidentales » qu’ils protègent en Ukraine, dont le peuple souffre du renversement, mené par des nazis, du gouvernement autocrate protégé par Poutine.

Il est grand temps que la classe ouvrière mette fin à l’hypocrite en chef, Obama, à ses alliés capitalistes et au fasciste Poutine. Seule une révolution communiste peut détruire ce drôle de bande de « violateurs » et mettre notre classe au pouvoir.

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