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Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

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Wednesday
Jan082014

Le Conseil d’Administration de la City University of New York (CUNY) et la police de New York le prouve :Il n’y a pas de liberté d’expression sous le capitalisme

Traduit de CHALLENGE, le 11 décembre 2013, page 1

 

NEW YORK CITY, le 25 novembre — C’est officiel. La City University of New York (CUNY) est un organisme répressif de l’Etat capitaliste et raciste. Aujourd’hui, plus de 100 étudiants et enseignants ont manifesté contre la « Politique Envers l’Activité d’Expression » proposée par le Conseil d’Administration. Cette politique prouve que la « liberté d’expression » n’est qu’un mythe sous le capitalisme. Divers réseaux ont mobilisé pour cette manifestation depuis des semaines.

Le Progressive Labor Party a organisé la participation de ses amis sur plusieurs campus. Les nouveaux membres du Parti ont acquis de l’expérience en mettant en avant notre ligne politique. Un membre du Parti a lu le message SOS reçu de Haïti, où le fascisme se manifeste sous forme de gaz lacrymogène, des grenades et des balles. Un étudiant haïtien a perdu une main, amputée par une grenade incapacitante lancée par la police nationale.

Les étudiants et enseignants à CUNY peuvent s’attendre à la même chose de la part de l’administration. Nous devons lutter contre le fascisme avec l’internationalisme communiste. « Si vous voulez en savoir davantage, » le membre du PLP a dit, « venez prendre un exemplaire de CHALLENGE ! » De nombreux manifestants ont remercié le membre du PLP qui a lu la salutation internationaliste. Ils ont pris le journal, ils sont ouverts aux idées rouges du Parti.

CHALLENGE joue un rôle essentiel dans notre lutte à CUNY. Nous le distribuons de manière massive chaque semaine à des étudiants qui, autrement, ne se rendraient pas compte de la militarisation de nos campus. Nous l’utilisons au sein de nos cellules du Parti afin d’évaluer notre travail. Nos amis lisent le journal et nous posent des questions fort intéressantes, comme : Pourquoi ces attaques arrivent-elles maintenant ? En distribuant CHALLENGE lors de cette manifestation, nous avons renoué le contact avec d’anciens amis et nous avons échangé noms et numéros de téléphone avec de possibles nouveaux amis. Nous luttons aussi avec nos amis pour qu’ils écrivent pour CHALLENGE.

Une vingtaine de flics étaient présents afin de restreindre la manifestation à la moitié de la largeur de la rue. Un flic gradé a menacé Taffy, un leader des étudiants que CUNY a suspendu, lui disant de « prendre garde ». De nombreux autres flics gardaient l’entrée aux bâtiments alentour.

Ce n’étaient pas des flics de la police universitaire, c’étaient des flics de la police municipale raciste (NYPD), la plus grande police municipale dans le pays impérialiste le plus puissant du monde. Ce n’est pas par hasard que la NYPD est devenue une organisation terroriste mondiale. La même police qui mène des « interrogations spéciales » (c’est-à-dire, que pratique la torture) au Pakistan, en Egypte, en Afghanistan, n’hésite pas à attaquer des étudiants et des enseignants qui manifestent.

Un membre du Parti a souligné que la militarisation ne se limite pas à CUNY – c’est un phénomène international. Au fur et à mesure que la classe dirigeante se prépare à un conflit mondial plus général, nous entrons dans une période de fascisme grandissant. L’emploi plus fréquent de flics municipaux pour supprimer la dissidence sur les campus reflète cette tendance.

La nouvelle politique du Conseil d’Administration prévoit une présence policière accrue, et des restreints sur toute activité publique, depuis la distribution de tracts jusqu’à se rassembler en groupe. En d’autres mots, l’administration de CUNY et la police pourront déterminer les limites d’un meeting contre le président de l’université. Les flics de la police universitaire pourront changer la date, l’heure, et le lieu de toute manifestation – ou l’interdire entièrement. Cette répression reflète la faiblesse des patrons de CUNY, et leur peur de la force d’une classe ouvrière organisée.

Tandis que la plupart de ceux qui manifestaient dehors étaient des étudiants, vingt-cinq enseignants, membres du Professional Staff Congress, ont exprimé leur désaccord devant la réunion du Conseil d’Administration. Le bâtiment de Baruch College était gardé comme un tribunal criminel. Une escadron de flics escortait les enseignants et autres employés de CUNY jusqu’aux ascenseurs en petits groupes de cinq à huit personnes. Chacun que entrait dans la salle de réunion devait passer par un détecteur de métal.

Le raciste président du Conseil d’Administration, Benno Schmidt, a annoncé que toute personne qui interrompait ou qui perturbait la réunion serait expulsée par la police et serait poursuivie devant une juridiction criminelle. Parlant d’une voix forte, un enseignant a demandé une minute pour faire état de la manière dont les autorités de CUNY suppriment les manifestations d’étudiants à coups de suspensions et d’arrestations. Sa demande a été rejetée.

Des groupes progressistes et soi-disant gauchistes décrit la « Politique Envers l’Activité d’Expression » comme une attaque contre les droits de l’homme garantis par la Constitution des E.-U. Ils mènent une campagne pour « défendre notre droit à la liberté d’expression ». Ceci est le sujet d’un désaccord des plus acerbes entre les membres du PLP et la soi-disant gauche. Le PLP se rend compte que les universités ne représentent pas un espace neutre où l’on peut débattre d’une manière démocratique. Nous vivons sous une dictature capitaliste et la classe dirigeante change et enfreint ses propres lois selon les besoins du système capitaliste.

L’un des manifestants à scandé le slogan : « Notre peuple, note lutte, peuples du monde, unissez-vous ! » Le PLP a un autre slogan : « La seule solution, c’est la révolution communiste ! » C’est le genre de révolution dont les étudiants et les travailleurs ont vraiment besoin. D’autres répandent un faux espoir quand ils disent que nos universités doivent être « dirigées par le peuple » ou « qu’il faut se réapproprier CUNY ». L’Université n’appartient pas à la classe ouvrière. Comme toutes les institutions sous le capitalisme, elle appartient aux dirigeants capitalistes. Avec son intention de voter la « Politique Envers l’Activité d’Expression », le Conseil d’Administration a établi cela de manière limpide.

CUNY est une institution raciste où les étudiants noirs, latinos, et d’origine sud-asiatique sont orientés vers les IUT et le Reserve Officer Training Corps. Les Universités sont réservés de plus en plus aux blancs. Cette ségrégation divise les étudiants et nous amène à nous reprocher mutuellement pour les défauts du capitalisme. Nous devons améliorer notre travail d’organisation dans toute la gamme d’institutions d’enseignement supérieur et notre travail de lutte contre le racisme. Nous devons aussi mieux faire le lien entre notre lutte et l’impérialisme brutal dans des endroits comme Haïti.

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