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Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

« La Syrie : Un Autre Front Pour des Guerres Impérialistes | Main | Que ce soit Obama ou Romney, le but reste la guerre et des bénéfices des entreprises. »
Thursday
Jan172013

Carnage à Gaza Prélude de Guerre U.S.-Israël Contre l’Iran ?

Traduit de Challenge, le 12 décembre 2012

Pendant huit jours sans interruption, Israël, armé par les E-U, a bombardé des civils palestiniens -- ce que le journal New York Times a appelé un « tour d’échauffement pour toute confrontation armée avec l’Iran à l’avenir » (le 23 novembre 2012).
Entretemps, le président Barack Obama faisait un tour de l’Asie de Sud-est afin de rassembler des alliés pour tout conflit potentiel avec la Chine.
Ces actions soulignent le dilemme fondamental auquel les capitalistes des E-U sont confrontés. Il leur faut absolument maintenir leur statut d’hégémonie mondiale, mais ils ne sont pas tout-à-fait prêts aux guerres mondiales et régionales qui se dessinent inévitablement au fur et à mesure que les rivalités impérialistes s’intensifient. Obama se tient prêt à élargir les aventures militaires des E-U au-delà de l’Irak, de l’Afghanistan, du Pakistan, de la Somalie et du Yémen, mais il n’a pas réussi à établir au pays le patriotisme et l’unité dont ses soutiens dans la classe dirigeante ont besoin. En même temps, les patrons des E-U ne bénéficient pas du le soutien international nécessaire pour protéger contre des milices islamistes les routes empruntés par le gaz afghan et le pétrole irakien.
Des luttes de faction ont déstabilisé l’Irak et ont limité la production pétrolière de l’Irak à juste la moitié de l’objectif établi par Exxon Mobil. Les milices talibanes et islamistes ont empêché la construction d’un gazoduc depuis l’Asie centrale et à travers l’Afghanistan. Pendant qu’ils se débattent dans ces arènes plus petites, les impérialistes des E-U savent qu’il sera beaucoup plus difficile de s’attaquer aux armées en Iran et en Chine.
Les manoeuvres des patrons vers des guerres plus amples sont compliquées par leur besoin d’imposer une discipline encore plus fasciste aux travailleurs étatsuniens, qui sont mûrs pour une rébellion. Ces travailleurs souffrent d’un chômage raciste non maîtrisé, d’une pauvreté générale (46 millions de personnes vivent dans la pauvreté) et de l’emprisonnement raciste et massif de 1,7 millions de jeunes et de travailleurs noirs et hispaniques. Toutes ces attaques font aussi baisser les salaires et les conditions de vie des travailleurs blancs.
Conflit entre les dirigeants des E-U
Les dirigeants des E-U sont en désordre. D’importants capitalistes étatsuniens se disputent quant à la façon de mobiliser pour une guerre et la meilleure manière de la mener. Dans les coulisses, leur conflit a façonné les élections (que l’on dit focalisées sur le système des impôts) et le scandale qui implique l’ancien patron de la CIA, David Petraeus. Les patrons du Tea Party, qui sont moins puissants et qui de toute manière ne sont pas persuadés de la nécessité de guerres à l’étranger, se sont retrouvés sur la touche dans le cirque électoral.
Il existe un désaccord fondamental entre la vision prônée par Colin Powell, l’un des soutiens d’Obama, et l’approche prônée par le gouvernement de George W. Bush, et soutenue par l’ancien vice-président Richard Cheney et le ministre de Guerre Donald Rumsfeld. La doctrine Powell nécessite la création à long terme d’écrasantes forces états-uniennes au sein d’une coalition internationale. La faction Cheney-Rumsfeld préfère la guerre à bon marché et utilisant des techniques de pointe, avec un emploi limité de troupes au sol. Ces derniers sont aidés par l’action d’Israël, qui fait le travail préparatoire un menant une guerre de missiles contre Gaza. Au-delà de ces divisions internes au sein de l’aile dominante des capitalistes financiers états-uniens, leurs alliés internationaux ont des intérêts qui ne coïncident pas forcément avec les leurs. L’Israël en est un bon exemple. Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu voit un Iran avec une capacité nucléaire comme une menace immédiate à l’existence d’Israël. Il a envoyé un avertissement à l’Iran en bombardant Gaza avec d’immenses bombes brise-bunker (fournies par les E-U).
Cette attaque a horrifié la faction de la classe dirigeante menée par Exxon Mobil et JP Morgan Chase, qui n’est guère prête à la guerre longue et coûteuse qui pourrait s’ensuivre. Mais elle a réchauffé le coeur de Sheldon Adelson, qui soutien les néoconservateurs. Adelson, qui possède des journaux en Israël (ainsi que des casinos en Chine, le rival impérialiste principal des E-U), a promis 100 millions de dollars à l’équipe Romney. Il compter sur un gouvernement Romney pour donner le feu vert à Netanyahu tout en baissant les revenus fiscaux – une menace évidents aux projets belliqueux à long terme des capitalistes financiers.
Conflit élargi dans une guerre à court terme
Ainsi que le Huffington Post l’a dit (le 20 novembre 2012), Anthony Cordesman, un stratège en vue au Centre pour des études stratégiques
et internationales (qui est financé par Rockefeller), sonne l’alarme à court terme « d’un conflit élargi – un conflit qui pourrait voir des missiles iraniens ciblant des troupes américaines en Afghanistan, des attaques de guérillas et avec des roquettes lancées par Hezbollah contre l’Israël du nord à partir du Liban, des navires de guerre des Etats-Unis se frayant un chemin à travers des champs de mines afin de rouvrir le détroit d’Hormuz [la route empruntée par d’énormes réserves de pétrole] et la fumée s’élevant en tourbillons des infrastructures pétrolières et des pétroliers détruits tout le long de la golfe Persique ».
Cordesman a parlé du projet de Netanyahu d’envoyer des avions israéliens frapper l’Iran, qu’Obama a réussi à remettre jusqu’après son élection, mais qui semblait plus imminent après l’incursion dans Gaza. Afin d’anticiper une telle action hâtive, Obama a détourné le ministre des affaires étrangères Hillary Clinton de son tour d’Asie, dont le but était de rassembler une alliance contre la Chine, et l’a envoyée au Caire et à Tel Aviv pour établir un accord sur Gaza.
Cela a court-circuité le projet pour l’Iran de Netanyahu, pour le moment. Mais, dans une manifestation supplémentaire de la faiblesse de la diplomatie des E-U, le président égyptien Mohammed Morsi, qui représente la confrérie musulmane, a utilisé son rôle comme éminence grise entre Hamas et Israël afin de tenter d’établir une dictature pro-islamiste et anti-E-U.
Alors même que la guerre faisait rage à Gaza et en Syrie, cependant, Obama a poursuivi sa tâche lors d’une rencontre avec les dirigeants cambodgiens et vietnamiens au sommet récent de l’Association des Nations de l’Asie du Sud-est. Son assiduité témoigne de l’importance suprême de la concurrence impérialiste entre les E-U et la Chine. Mais, malgré les meilleurs efforts d’Obama, ces alliances régionales restent incertaines.
Des millions de Vietnamiens et de Cambodgiens de la classe ouvrière, se battront-ils pour les mêmes dirigeants des E-U qui ont massacré cinq millions de leurs proches dans les années 1960 et 1970 ? Le racisme qui
a généré ces attaques génocidaires reflète le peu d’importance que les patrons des E-U accordent aux travailleurs asiatiques. Il est aussi une extension de leur vision des jeunes et des travailleurs noirs, hispaniques et asiatiques aux E-U.
La lutte de classes qui se profile
Faisant contrepoint aux besoins belliqueux des dirigeants des E-U, il y a la montée de la lutte de classe à travers le monde. Des millions de travailleurs textiles se sont mis en grève au Pakistan et au Bangladesh. D’autres millions ont manifesté contre la pauvreté engendrée par l’austérité imposée par les patrons européens. La lutte contre le racisme des étudiants et des enseignants se propage en Haïti. Des centaines de milliers de mineurs en Afrique de Sud font face aux groupes propriétaires, soutenus par les E-U et le Royaume-Uni, des richesses minières dans ce pays. Des manifestations contre les policiers-meurtriers racistes ont éclaté dans diverses villes des E-U. Pour la première fois aux E-U, la société multimilliardaire Walmart est confrontée à des grèves contre des salaires de misères et des conditions de travail exploitrices.
Les membres et amis du Progressive Labor Party participent à beaucoup de ces luttes. Nous soutenons et parfois nous menons ces luttes ouvrières tout en répandant notre vision communiste. Ces idées montrent le chemin vers une solution à l’exploitation capitaliste : une révolution pour renverser le système capitaliste, sexiste et raciste et pour établir le gouvernement des travailleurs. Rejoignez-nous !

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