Faire un don
Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

« Note de Solidarité | Main | Aux étudiants grévistes de la faim à la Faculté d’Ethnologie à l’UEH »
Tuesday
Mar082011

Qui dirige Haïti?

L’interrogation, << Qui dirige Haïti? >> parait être simple, mais plutôt majeure et aussi difficile à répondre, en ce qui a trait à l’identification même de la racine du pouvoir politique en Haïti.  Toutefois, il faut mentionner rapidement que la construction de la généalogie du pouvoir politique  en Haïti est liée au colonialisme, à la division interne de la  structure sociale et à la lutte perpétuelle bipolaire entre les gens des quartiers populaires et les gens de montagne noire. Cette Haïti d'un tissu social déchiré est le lot d’une contradiction construit comme normal de l'instrument du Métropole, en termes d'idéaltype[1] d'organisation du système politique: le patron et le travailleur.

Cette mise en situation rapide traduit la montée du système capitalisme de l'époque dans la bataille pour la concurrence internationale des métropoles _ dans la maintenance de leur ignorance au détriment de la nôtre. Mais, ce qui est pire, c'est que nous autres victimes de toutes les préjugés de leur manœuvre ne pourrons effectivement <<rompre pour mieux comprendre>> (titre du texte du professeur Louis Ilionor, publié sur le site internet de PAPDA, sur la condition de vie et la perception des gens dans les bidonvilles), en continuant à faire de leur philosophie pestilentielle la nôtre et ceci tout au fond de la lutte pour la transformation sociale.

En effet, Haïti est dirigé par la poursuite de la conspiration multinationale maintenue par l'ignorance même du système. En outre, ce profit de pouvoir du centre  est au détriment de ce pays regardé en marge. C'est cette analyse de l'avoir toujours en marge de manière systématique qui fait de ce pays longtemps dans le déboire ne respirerait donc; un mieux être que dans la mendicité et le mensonge officiel.

Au delà, des considérations factuelles et empiriques des problèmes ponctuels d’Haïti, telles:

  • L’aide humanitaire et la dette forcée d’Haïti
  • La militarisation: cadre de projet de sécurité des nations-unis
  • Les organisations non-gouvernementales et intergouvernementales

Il y a, sans nul doute, le projet idéologique néo-libéralisme pour la dépendance de l’état et le parasitisme social des groupes défavorisés. Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’économie politique mercantile de l’histoire sociale d’Haïti, sous l’égide de la division internationale du travail. En outre, <<de l’internationalisme communautaire>> comme sphère générale de la direction d’Haïti est l’expression ironique et qualificative qu’a utilisé le professeur Janil Louis-Juste, dans son texte<< ONG: ki gouvelman ou ye? >>

De toute évidence, l’interrogation << Qui dirige Haïti? >> est l’observatoire de l’ensemble d’acte infrahumains, récurrents qui sévit en Haïti, depuis presque sa naissance. De sa superficie limitée _ être la préoccupation jadis des grands pays du nord_ culture de résistance de peuple. Alors, il revient à considérer le sens du capitalisme d’organisation dans beaucoup de pays dont Haïti est la preuve concrète de la stratégie marchande. En dernier lieu, ce terme marque la grande inquiétude de plus d’un, dans la perspective de comprendre l’organisation du pouvoir politique d’Haïti.

 

 


[1] Terme emprunté dans le vocabulaire sociologique de Max Weber



Reader Comments

There are no comments for this journal entry. To create a new comment, use the form below.

PostPost a New Comment

Enter your information below to add a new comment.

My response is on my own website »
Author Email (optional):
Author URL (optional):
Post:
 
Some HTML allowed: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <code> <em> <i> <strike> <strong>