Faire un don
Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

« Le Business Humanitaire: l’ONU et Haïti au Temps de Choléra | Main | Les Elections, Colis Piégés, et Guerre Impérialiste sans Fin »
Wednesday
Dec012010

Fiasco de la Tournée Asiatique d’Obama: Rivaux Impérialistes et Domestiques Enveniment Ses Ennuis Commerciaux, Fiscaux

Des déficits énormes dans la commerce étrangère et le budget fédéral gênent la capacité des impérialistes étatsuniens de payer l’élargissement des guerres qui leur sont essentielles.  Le déficit commercial retire $44 milliards des E.-U. chaque mois, puisque les E.-U. importent plus qui’ils exportent.  Le déficit du budget fédéral est monté en flèche de $960 milliards en 2008 jusqu’à $1,42 trillions en 2009.  La division croissante entre les capitalistes étatsuniens, évidente dans le phénomène du Parti de Thé [le “Tea Party” droitiste, son nom venant d’une histoire des colons de Boston en révolte contre la monarchie britannique], avec son plaidoyer vanté anti-impôts et contre le “gros gouvernement,” rend plus difficile pour les dirigeants représentés par Obama de manier le déficit fédéral aux E.-U..  Pendant ce temps, le montant des frais des opérations militaires étatsuniennes en Irak et en Afghanistan (et maintenant au Yémen et au Pakistan) a grimpé au-dessus de $3 trillions.

La tournée récente d’Obama en Asie, qui visait à manier le problème de la commerce, fut un échec.  “La confiance en le leadership étatsunien pour l’économie globale continue à diminuer,” résumait le Comité de Relations Etrangères [CFR en anglais], le groupe d’études principal de l’impérialisme étatsunien, à propos du sommet des pays du Groupe de 20 [G20] (le site CFR, 12 novembre). 

 Sommet G20 à Séoul Montre la Rivalité Impérialiste comme Force Motrice du Monde

 Le conflit ouvert régnait à Séoul.  Les patrons chinois et étatsuniens se sont accusés mutuellement d’avoir dévalué leurs devises pour mieux avancer les exportations. “Une chute de 7,5% du dollar pendant les quatre mois derniers rend moins cher à l’étranger les marchandises étatsuniennes; la demande aux économies émergentes pousse la vente des sociétés telles que General Electric” (Bloomberg, 11 novembre).

La Réserve Fédérale [banque centrale des E.-U.] a fait imprimer $600 milliards nouveaux, les jetant dans la circulation—l’annonce était faite pendant le sommet G20—qui ne fait qu’intensifier cette guerre de commerce, en dévaluant les devises étatsuniennes, rendant moins cher le prix des exportations étatsuniennes, et rendant plus chers les importations étrangères. 

 L’hôte du sommet, la Corée du Sud, a catégoriquement rejeté une montée des importations des E.-U., malgré la diplomatie d’Obama et la présence au pays de 30.000 troupes étatsuniennes.  En général, les chefs d’Etat des pays les plus riches du monde ont carrément rejeté le plan d’Obama de faire doubler les exportations étatsuniennes: “Les membres du G20 ont repoussé les efforts étatsuniens d’établir des cibles fixes pour les déséquilibres dans les comptes courants” (CFR).

Cette manque très marquée de coöpération à Séoul prouve que les états-nations sont essentiellement les instruments des classes dirigeantes distinctes, toutes poussées par le profit, et concentrées sur la vente de leurs marchandises au dépens l’un de l’autre.  Et cette concurrence, avec les marges de profit cassées par la crise économique, devient plus acharnée.  “Le sommet grincheux à Séoul suggère que les politiques divergentes deviendront normales dans un proche avenir” (CFR).  Les divisions au sein des E.-U. ont aussi affaibli Obama.  A la suite des pertes électorales des Démocrates, les leaders à Séoul se méfiaient de sa capacité de gagner le soutien du Congrès étatsunien pour les accords commerciaux qu’il leur promettait.

 Plan Déficitaire #1 d’Obama: S’Attaquer à la Sécurité Sociale et aux Assurances Medicales des Travailleurs

 Pendant qu’Obama se trouvait en Asie, sa Commission pour étudier des moyens de réduire le budget et de remettre l’économie étatsunienne en bon état pour faire la guerre (regardez le plan 2, en bas) a publié ses propositions: couper la sécurité sociale et les Assurances Medicales [Medicare], et faire monter l’âge de la retraite et les impôts.

  (Le genre de pensée animant ce panel se reflète dans son co-directeur, Alan Simpson, qui traita de “vieillards gourmands” l’organisation de retraités AARP, et qui dénonca la sécurité sociale comme “une vache à 310 millions de tétons”).

La montée des impôts, cependant, est devenue de la poison politique dans un  Congrès plus influencé par le Parti de Thé, dont les candidats viennent d’acheter aux urnes des douzaines de sièges.  Ces capitalistes-là retirent beaucoup moins de profit des guerres impérialistes essentielles à l’aile de la classe dirigeante qui a en tête les intérêts Rockefeller, afin que ceux-ci puissent contrôler les sources de pétrole et les pétroducs étrangers au profit des sociétés pétrolières comme ExxonMobil et Chevron.

 Plan Déficitaire #2 d’Obama:  Rendre la Machine de Guerre Plus Musclée et Plus Aggressive

Ce panel budgétaire d’Obama qui a proposé le plan déficitaire, réputé d’être acceptable aux deux partis [Démocrates et Républicains], a des personnalités impérialistes de grand rénom.  Les co-directeurs sont Erskine Bowles (l’ancien chef d’équipe de Bill Clinton) et Alan Simpson, l’ex-sénateur droitiste qui est tout prêt d’appauvrir les travailleurs âgés.  Bowles tient un siège au comité exécutif de Morgan Stanley [une des plus grandes banques], et sa femme un siège au comité exécutif de J.P. Morgan Chase [banque même plus grande].  Simpson a servi au Groupe d’Etudes sur Irak, qui menait au remplacement de Donald Rumsfeld par Robert Gates [au Ministère de Défense], et ensuite aux déferlements mortels des E.-U. en Irak et en Afghanistan.

 Quant aux économies militaires, Bowles et Simpson s’attaquent aux assurances médicales des soldats vétérans, et aux systèms d’armes très coûteux qui ne sont plus utiles pour les guerres actuelles, soit en cours soit envisagées par le Pentagone [direction des forces militaires des E.-U.].  Ce panel conseille la fermeture des bases militaires luxueuses en Europe et au Japon, en faveur des “bases avancées d’opérations” sans luxe et plus près des points chauds potentiels.  Le montant des troupes, quand même, reste indemne parmi les coupures budgétaires proposées.  Tant pis pour le changement des épées en socs de charrue.

En train de faire leurs économies, Bowles and Simpson ne fait mention nulle part de sauver les vies des travailleurs en terminant le génocide en Irak et en Afghanistan.  Ces guerres, et celles plus sanglantes à venir, se trouvent au centre des plans des impérialistes étatsuniens de se sauver en face de la rivalité globale envenimante.

Quant à la classe ouvrière, nous avons besoin du genre de riposte que le PLP aide à organiser parmi les travailleurs de métro (p. 5); les enseignants, les parents, et les élèves (p. 3); au Mexique (p. 1); et à General Motors (p. 7).  Le PLP apporte nos idées communistes à ces luttes de classe, la base de faire du Parti la force nécessaire à la classe ouvrière pour détruire le système du profit et son chômage raciste massif, ses crises productrice de la misère, et ses guerres impérialistes massacrant les travailleurs.Seule une révolution communiste peut créer une société dirigée par les travailleurs et capable d’éradiquer ces maux.         



Reader Comments

There are no comments for this journal entry. To create a new comment, use the form below.

PostPost a New Comment

Enter your information below to add a new comment.

My response is on my own website »
Author Email (optional):
Author URL (optional):
Post:
 
Some HTML allowed: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <code> <em> <i> <strike> <strong>