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Notre lutte

LE PARTI PROGRESSISTE DU TRAVAIL (PPT) se bat pour détruire le capitalisme - salaire esclavage. Les patrons et leurs laquais, ils crient: "Le communisme est mort!" Toutefois, il est le capitalisme qui est le véritable échec pour des milliards de personnes dans le monde. Le capitalisme a été restauré dans l'Union soviétique et la Chine parce que le socialisme ne pas effacer de nombreux aspects du capitalisme, comme les salaires et la division du travail.

Le capitalisme conduit inévitablement à la guerre. PPT organisent les travailleurs, les étudiants et les soldats à faire de ces guerres de la révolution communiste: la lutte pour la dictature du prolétariat. Cette lutte nécessite une masse Armée rouge dirigée par le PPT communiste.

Le communisme signifie travailler collectivement pour construire une société où la distribution est basée sur les besoins. Nous allons travailler à abolir les salaires, l'argent et des bénéfices. Tout le monde va ensuite partager les avantages et les charges de la société.

Le communisme signifie l'abolition du racisme et de la notion de race.

Le communisme signifie l'abolition de la spéciale oppression des femmes travailleuses.

Le communisme signifie l'abolition des nations et du nationalisme. Un groupe de travail de classe, un seul monde, un seul parti.

Le communisme signifie la Partie conduit tous les aspects de la société. Pour ce faire, des millions de travailleurs - enfin tout le monde - doit devenir communiste organisateurs. Rejoignez-nous!

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Thursday
May062010

Prolétaires de tous les pays, unissons-nous : Le 1er mai 2010 Abolissons toutes les frontières !

Ce premier mai, la journée internationale du travail, la classe ouvrière internationale est confrontée à la montée des attaques fascistes, tandis que les tambours de la guerre sonnent de plus en plus fort, et des millions se font massacrer. Le capitalisme mondial met la crise économique sur le dos des travailleurs par le biais d’un chômage de masse, des baisses de salaires, des prix alimentaires qui montent en flèche, et la mort par la faim qui en résulte. Tous ces phénomènes revêtent un caractère raciste.

Cependant, les masses des travailleurs ripostent, de la grève des travailleurs immigrés en France aux rebellions en Grèce, en passant par les travailleurs et les jeunes aux E-U qui luttent contre de racistes baisses budgétaires. Ce premier mai, nous devons nous tenir comme une seule classe, avec un seul intérêt : la destruction des meurtriers capitalistes par la révolution communiste, et la construction d’un monde communiste, où la production répondra aux besoins de notre classe.

La solidarité internationale des travailleurs doit riposter à l’assaut frontal des patrons, surtout parce qu’ils utilisent leurs attaques contre les 200 millions d’immigrés du monde comme moyen de s’attaquer à TOUS les travailleurs. Les travailleurs immigrés sont les victimes d’une surexploitation raciste qui appauvrit toute la classe ouvrière par la création d’une « armée industrielle de réserve » – armée que les patrons utilisent pour matraquer tous les travailleurs, dont les travailleurs blancs.

C’est le capitalisme qui a créé cette migration partout dans le monde. Nous disons : abolissons toutes les frontières, création des patrons. Nous constituons une seule classe sur le plan international.

C’est le capitalisme qui a créé la classe ouvrière, une classe qui ne peut survivre qu’en vendant sa capacité de travail.

Très tôt, les capitalistes ont réduit en esclavage des millions d’Africains et les ont transporté de l’Afrique à toute partie du monde où ils pouvaient générer un profit maximum. Aujourd’hui, avec l’expansion mondiale du capitalisme, l’immigration est devenu un phénomène mondial. La recherche ininterrompue des bénéfices maximales de la part du capital a déraciné des centaines de millions de travailleurs, les obligeant à vivre dans la misère noire de gigantesques bidonvilles, de Haïti au Venezuela,  en passant par le Brésil, le Nigeria, et la Chine, où 80 millions de travailleurs migrants chinois sont stigmatisés comme des « clandestins ».

Beaucoup meurent en traversant les déserts et les océans, partant de l’Afrique ou de l’Amérique latine à la recherche d’un emploi aux Etats-Unis ou en Europe. D’autres meurent de la faim, de la malnutrition, ou de maladies curables. Ceux qui migrent vers les pays les plus industrialisés sont surexploités, mais sont utilisés aussi comme boucs émissaires, tenus responsables de problèmes comme le chômage, problèmes qui, en réalité, sont engendrés par le capitalisme. On les traite comme les esclaves ou les serviteurs inféodés des temps modernes.

Par le passé, les travailleurs immigrés étaient en première ligne dans la lutte de classe. Le capitalisme mondial a créé ses propres fossoyeurs – la classe ouvrière – et a rendu cette classe plus internationale que jamais. Cela fournit une occasion pour la classe ouvrière, menée par les communistes, de forger l’unité nécessaire à la révolution communiste. Aujourd’hui, les travailleurs immigrés sont positionnés sur les plans géographique et social pour aider à mener cette lutte partout dans le monde.

Leur rôle deviendra encore plus crucial au fur et à mesure que s’intensifie la rivalité des impérialistes pour la domination du monde. Ce sera particulièrement le cas aux Etats-Unis, une puissance sur le déclin qui se bat de manière désespérée pour maintenir sa position comme la plus forte des puissances impérialistes. Entre-temps, les Etats-Unis se préparent à des guerres plus étendues au Moyen Orient et, ultimement, à une guerre mondiale contre ces puissances montantes que sont la Chine, la Russie, et l’Union européenne.

La lutte au sein des dirigeants états-uniens à propos de la réforme des lois sur l’immigration est une question de tactique et de stratégie par rapport à où et quand ces guerres seront livrées. Une section de la classe dirigeante veut les livrer avec une petite armée qui sera supérieure sur le plan technologique. Ces patrons-ci s’opposent à la réforme des lois sur l’immigration. Ils veulent continuer à utiliser les déportations comme moyen de terroriser les travailleurs immigrés. Ainsi, ils pourront continuer leur surexploitation.

Cependant, la section « progressiste » des impérialistes états-uniens, veut poursuivre une politique d’immigration susceptible de générer du patriotisme parmi les immigrés. Elle promeut l’accession à la citoyenneté au bout de 12 longues années. Cela, c’est la contrepartie qu’ils concèdent, afin de pouvoir recruter pour leurs guerres impérialistes des millions de jeunes soldats comme chair à canon et de pouvoir maintenir une main-d’oeuvre de millions de travailleurs surexploités qui feront tourner les industries de guerre.

La féroce opposition aux immigrés de leurs opposants au sein de la classe dirigeante sert aussi aux patrons « progressistes », parce cette opposition crée une terreur et un désespoir qui – ils espèrent – rabattront les travailleurs immigrés dans les bras du « moindre mal » – les hommes politiques, les églises, et les syndicats « progressistes », avec leur pacifisme et leur politique électorale, cette dernière n’étant qu’un cul de sac.

Leur réforme des lois sur l’immigration et leur loi DREAM visent à obliger les jeunes sans-papiers à intégrer l’armée avec l’excuse de « les aider à faire des études supérieures », études qu’ils ne pourront financer autrement. A long terme, cette « armée des détenteurs de la carte verte » (permis de séjour aux E-U) deviendra l’armée de tout le monde, par le biais de la réintroduction de la conscription ou d’un projet militariste de « service national ». Les conditions, proches de celles d’un esclave, et les salaires bas des travailleurs immigrés inféodés seront le moyen de faire baisser les conditions de tous les travailleurs.

Les besoins de la classe dirigeante des Etats-Unis obligent cette classe à mettre ensemble deux des sections les plus opprimées, et potentiellement les deux sections les plus militantes et rebelles, de la classe ouvrière : d’un côté, les travailleurs et la jeunesse noirs, qui sont cruciaux pour l’industrie et l’armée, et qui ont une histoire riche en luttes contre le racisme des patrons états-uniens ; et d’autre part les travailleurs immigrés, avec leur longue histoire d’opposition à l’impérialisme des Etats-Unis.

Avec l’action du Parti progressiste du travail (PLP), qui construit l’unité internationale et un foyer de rébellion et de communisme révolutionnaire parmi les travailleurs industriels, les soldats, et les étudiants – qu’ils soient noirs, latinos, blancs, asiatiques ou arabes, immigrés ou citoyens, hommes ou femmes – nous pouvons vaincre le racisme, le nationalisme et le patriotisme des patrons, et nous pouvons unir les travailleurs du monde afin de détruire à tout jamais le fléau du capitalisme.

Le feu du premier mai brûle d’une flamme vive dans un PLP internationaliste grandissant et plein de vie ! Prolétaires de tous les pays, unissons-nous ! Luttons pour mettre fin au racisme et aux guerres des profiteurs ! Abolissons toutes les frontières créées par les patrons ! Faisons circuler CHALLENGE (Le Défi), notre journal communiste, révolutionnaire et internationaliste ! Luttons pour le communisme ! Rejoignez-nous !

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